Laure Lalanne

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“Comme il est étrange qu’après tant de batailles et de souffrances,

l’être humain persiste à se soumettre librement à ce qui l’asservit.” 

          C’est la 1ère phrase, l’exergue, de PURéE  FICTION.

Voilà qui résume peut-être l’ensemble de ces écrits autonomes du passé, d’utilité publique ; du moins à mes yeux. Et puis la démarche en général : aimer ce qui vibre et observer ce qui empêche de vibrer : en soi, dans la société.

Des écrits non plus présents ici, mais proposés dans la vraie vie, en direct, aux personnes qui le souhaitent.

Par exemple, le dernier écrit sur la chose énergétique, épuré, condensé, se scinde : ”Réflexions autour de la Dualité”, et “Informations et conseils autour de l’Energétique”. Voilà qui permet à chacun de faire le pas, s'il le juge utile, vers des thèmes qui ne parlent pas à tous, d'emblée.

Tous dépassés, mes écrits ! Parce qu’actuels, réalisés, palpables dans le quotidien, et bien plus encore, semble-t-il. Sauf que ? Notre responsabilité à tou-te-s, sur ce consentement collectif à la perte de liberté : toutes les libertés, intérieures, extérieures. Notre positionnement, intérieur, extérieur.

                                Tout est déjà là. Tout est à notre disposition pour la libération intérieure, la liberté tout court. L’époque est magnifique de possibilités et d’ouvertures, malgré les ombres, factices et réelles, agitées par certains mondes : ceux-là, impuissants intérieurement, qui veulent nous maintenir dans cette vieille dualité, dans laquelle nous paressons voluptueusement.

Même ces algorithmes invisibles et leurs programmes très étranges sont dépendants de simples circuits électriques, électroniques, faillibles à tout instant.

Nous, êtres humains, sommes complètement responsables de nos circuits et polarisations, sur le plan physique, et sur le plan subtil. Il est temps, finalement, de porter, et d’accompagner son attitude, sans plus se cacher dans les collectifs ou derrière des définitions identitaires, héréditaires.

Personne n'est encore parfait, bien sûr ! Simplement, déjà, retrouver l'évidence de la souveraineté de la conscience individuelle, avant qu'elle ne se partage.

                                   Surtout parce que l’Air du Temps va maintenant droit à l’Être de chacun-e, et dans le sens profond et singulier que cela a, pour ce chacun-e. Selon comment la personne aura dépassé, ou plutôt transmuté son ADN mémoriel, sa “définition”, ses “appartenances”, ainsi que l’emprise plus large de toute idéologie afférente à tout groupe. Cela va très loin finalement, et pour chacun-e d'entre nous.

Pour dialoguer avec la Vie-même, simplement, souplement, ouvertement. Sans aucun garde-fous.

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Honorer les identités et catégories, pour mieux rejoindre l’universel dans chaque phénomène vivant : la balance de l’Air du Temps penche définitivement de ce côté maintenant ! Famille, clan, parti, groupe ou mouvement, de définition, d'affirmation ou de défense, plus aucun cocon identitaire, ancien refuge ou auto-célébration ne tient infailliblement, devant la puissance de cette relation directe qui dissout les autorités ou allégeances.

Le Vivant, sans plus d’intermédiaire : ce qui le sert, ou ce qui le dessert. (Oups, encore prise en flagrant délit de dualité...)

Et des collectifs souples, différenciés, temporaires ou durables mais reliés à l’universel sans idéologie ni domination mutuelle peuvent alors  s’ensuivre, dans tous les "mondes" : davantage par mouvement intérieur, organique, que par mimétisme catégoriel, y compris d’avant-garde.

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.................................C’est pour cela que tous les Chats Bottés lissent les plumes de leur chapeau et prennent bien soin de leurs chausses !